Updates: Delivers Personal Protective Equipments to North Macedonia . . .
Toutes les femmes, sans discrimination aucune, doivent jouir de leurs droits sexuels et reproductifs et le droit de disposer librement de leurs corps y compris l'accès à l'avortement sans risque en Tunisie, au Moyen Orient et en Afrique.
Défendre, promouvoir les droits sexuels et reproductifs et une éducation sexuelle complète, pour l'accès à des services de qualité, la contraception et l'avortement securisés, et une sexualité épanouie.
Nous oeuvrons pour un partenariat basé sur le plaidoyer, le partage des connaissances, des expertises et des bonnes pratiques en Tunisie, au Moyen Orient et en Afrique.
-Un pool de féministes et activistes défend les droits sexuels et reproductifs (DSR).
-Un personnel de la santé, des journalistes, médias, influenceurs et ONGs formés pour la défense des DSRs y compris le droit à l’avortement securisé.
-Un partenariat Sud-Sud.
Toutes les femmes exercent leurs droits sexuels et reproductifs et ont accès à des soins de qualité, y compris à l'avortement sécurisé
l'équipe de GTBC a orchestré une revue à mi-parcours des projets
Du 21 au 23 novembre à Tunis, le Groupe Tawhida Ben Cheikh a organisé
Étude qualitative sur la recomposition des valeurs relatives à la sexualité, la santé sexuelle et reproductive et la relation de genre auprès des jeunes en Tunisie
Enquête sur la recomposition des valeurs en rapport avec la sexualité, la santé sexuelle et reproductive et la relation de genre
Restitution des résultats de l'enquête avec les delegués.
GTBC a célébré la 50ème année depuis la légalisation de l'avortement
Le 31 mai 2023, GTBC a organisé une réunion d'envergure avec les gouverneurs
L’égalité de genre est un enjeu majeur et un prérequis indispensable
The majority have suffered alteration all injected humours randomises.
All ReviewsNoura, une jeune femme de 23 ans présentant un trouble mental avec un handicap sérieux ayant justifié l’attribution d’une carte d’handicapée mentale se présente accompagnée de sa sœur, avec une grossesse de 20 semaines d'aménorrhée découverte par la famille. Elle aurait été aggressée et violée. Elles est bien évidement récusée par les prestataires de la clinique et adressée dans le secteur privé. Cependant aucun médecin n’accepte de pratiquer un avortement. Elle est envoyée à Tunis pour une prise en charge et adressée au service des maladies mentales ou elle bénéficie d’un certificat médical recommandant l’interruption de grossesse et elle est hospitalisée en vue d’une interruption chirurgicale de la grossesse qui sera pratiquée dans la semaine.
21 Avril 2020 A., une jeune fille de dix neuf ans se présente à la clinique de l’ONFP pour un avortement avec une grossesse de 8 semaines d'aménorrhée, mais elle est remballée et ballottée en tant que fille célibataire et malgré l’aide d’une sage femme n’aura d’échographie que tardivement. Sa grossesse est alors datée à 9semaine et 4 jours d’aménorrhée et ne peux donc être réalisée à la clinique par la méthode médicamenteuse puisque celle-ci n’est pratiquée que jusqu’à 9 SA maximum.. La sage femme essaye de l’envoyer à un gynécologue de ville mais celui-ci refuse de pratiquer l’avortement sans la présence d’au moins la mère, alors que la jeune fille est majeure. Un gynécologue contacté par téléphone argue du fait qu’il est en congé et que son remplaçant, un jeune résident, n’acceptera pas de pratiquer d’IVG et que de toutes les manières la clinique privée (la seule en ville ) exigera aussi la signature d’un tuteur, un des parents. Avec le confinement la jeune fille ne pourra pas se déplacer dans une ville du centre du pays ou vers la capitale sans autorisation de la police.
Il y a deux ans, Hanine, une jeune fille alors âgée de 17 ans a consulté à la clinique de l’ONFP pour une demande d’interruption volontaire de la grossesse (IVG) suite à un viol à l’âge de 16ans et demi par trois garçons dont un seul a été arrêté et reconnu coupable, les deux autres travaillaient dans le réseau de contrebande. Etant mineure à cette époque, il a été demandé d’avoir l’autorisation de la mère qui l’a accompagnée mais le personnel administratif demandait quand même l’autorisation du juge pour enfants car la grossesse était à plus de huit semaines (date limite pour l’avortement dans les cliniques de l’ONFP). Lequel juge a refusé , ainsi qu’un deuxième juge (donc à deux reprises) d’autoriser l’avortement. Finalement la grossesse étant trop avancée, la jeune fille a été contrainte de garder la grossesse. Elle a accouché et gardé le bébé mais l’ADN n’a pas été réalisé pour identifier le père. Actuellement elle vit enfermée chez ses parents avec son enfant et bénéficie d’une aide de l’état de 200 Dinars en tant que mère célibataire.